Controverse à Taïwan : Des allégations de prêts illégaux et d'intimidation émergent à la suite du soutien apporté au législateur Cheng Cheng-Chien

L'arrestation du propriétaire d'un spa à Taïwan soulève des questions sur son appartenance politique et ses pratiques financières
Controverse à Taïwan : Des allégations de prêts illégaux et d'intimidation émergent à la suite du soutien apporté au législateur Cheng Cheng-Chien

Un récent incident à Taïwan a mis en lumière des accusations de prêts illégaux et d'intimidation, suite au soutien apporté au législateur du Kuomintang (KMT) <strong>Cheng Cheng-Chien</strong>. La controverse a débuté après l'émergence d'allégations selon lesquelles <strong>Cheng Cheng-Chien</strong> aurait mobilisé des <strong>travailleurs migrants</strong> étrangers pour participer à une manifestation le 26 avril. Une propriétaire de spa, identifiée comme Mme Ho, s'est ensuite manifestée, affirmant être l'organisatrice de la participation des travailleurs.

Cependant, cet acte de soutien a mené à une enquête plus approfondie. Le Parti démocrate progressiste (DPP) a alors accusé Mme Ho de se livrer à des prêts à intérêt élevé à ses compatriotes, en utilisant des tactiques de recouvrement agressives. De plus, des allégations de violations de la loi sur la protection des informations personnelles ont été formulées, avec des affirmations selon lesquelles elle aurait affiché des avis de récompense pour ceux qui ne remboursaient pas les prêts.

En réponse à ces allégations, le bureau des procureurs du district de Hsinchu a rapidement procédé à l'arrestation de Mme Ho et d'un individu identifié comme M. Ma. Ils ont été accusés d'usure aggravée, d'intimidation et de violations de la loi sur la protection des informations personnelles. Les accusations ont entraîné leur détention sans caution. Cette action rapide souligne la gravité des accusations et les potentielles ramifications légales auxquelles sont confrontées les personnes impliquées. La situation met en outre en évidence les liens possibles entre le soutien politique et la prétendue faute financière à Taïwan.



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