L'appel téléphonique vert-blanc de Taïwan : Ko Wen-je perd son procès sur les allégations d'élection du président de la Chambre des représentants

Le tribunal donne raison à Wu Cheng et rejette l'action en justice concernant l'incident controversé d'un appel téléphonique dans la course à la présidence du Yuan législatif.
L'appel téléphonique vert-blanc de Taïwan : Ko Wen-je perd son procès sur les allégations d'élection du président de la Chambre des représentants

Le tribunal de district de Taipei a rendu son verdict dans l'affaire très médiatisée du "coup de fil vert-blanc", une bataille juridique née de l'élection du président du Yuan législatif à Taïwan. La plainte, déposée par le Parti du peuple taïwanais (TPP) et son ancien président, Ko Wen-je, contre Wu Cheng, porte-parole du Parti démocrate progressiste (DPP), réclamait 1 million de dollars taïwanais de dommages et intérêts et exigeait la suppression de publications sur les réseaux sociaux. Wu Cheng, représentant le DPP, avait allégué que Ko Wen-je avait initié un appel téléphonique à "une personnalité éminente du domaine médical au sein du camp vert" pour négocier la position de président. Le tribunal a statué en faveur de Wu Cheng, rejetant la plainte et autorisant un appel.

La controverse est née de l'élection du président du Yuan législatif. L'incident est devenu connu sous le nom de "coup de fil vert-blanc".

Le TPP et Ko Wen-je ont également déposé des plaintes distinctes contre Sanlih E-Television et un journaliste, ainsi que contre ETtoday et un autre journaliste, réclamant chacun 1 million de dollars taïwanais de dommages et intérêts et la suppression des reportages. Le tribunal a également statué contre le TPP et Ko Wen-je dans ces affaires connexes.



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